Raphaël Meltz
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Re: Raphaël Meltz
Illustrations : Nicolas de Crécy
Lisbonne
Voyage imaginaire
J’ai vu parmi les nouveautés un livre de Raphaël Meltz et en faisant des recherches, j’ai retrouvé ce livre, acheté en 2019 mais jamais fait de commentaire.
C’est le bon moment de le ressortir pour ouvrir le fil de l’auteur et surtout parler des sublimes images de Nicolas de Crécy.
Après Fernando Pessoa, Antonio Tabucchi et Pascal Mercier, en voilà une autre invitation au voyage. Lisbonne m’attire toujours.
Et même si celui de Raphaël Meltz est imaginaire, il s’agit d’un très beau récit.
Il emmène son lecteur pour une visite insolite et tout à fait à part.
Le passé, des moments importants de l’histoire de la ville, la littérature… il en fait un beau tour de Lisbonne et on ressort qu’avec une envie – prendre le prochain avion et transformer ce voyage imaginaire en du réel
Lisbonne
Voyage imaginaire
Présentation de l’éditeur
Pourquoi aller à Lisbonne et pourquoi voyager ?
Sans s'être déplacé, Raphaël Meltz nous fait le récit, jour après jour, de ce qu'aurait pu être sa découverte idéale de la ville : une magnifique errance mêlant histoire, littérature, découvertes architecturales et art de vivre.
Cette déambulation poétique parue initialement en 2002, s'enrichit de nouvelles aquarelles de Nicolas de Crécy et nous apparaît désormais comme une foisonnante résurgence de l'ancienne Lisbonne, celle d'avant les grands travaux et de l'engouement touristique.
J’ai vu parmi les nouveautés un livre de Raphaël Meltz et en faisant des recherches, j’ai retrouvé ce livre, acheté en 2019 mais jamais fait de commentaire.
C’est le bon moment de le ressortir pour ouvrir le fil de l’auteur et surtout parler des sublimes images de Nicolas de Crécy.
Après Fernando Pessoa, Antonio Tabucchi et Pascal Mercier, en voilà une autre invitation au voyage. Lisbonne m’attire toujours.
Et même si celui de Raphaël Meltz est imaginaire, il s’agit d’un très beau récit.
Il emmène son lecteur pour une visite insolite et tout à fait à part.
Le passé, des moments importants de l’histoire de la ville, la littérature… il en fait un beau tour de Lisbonne et on ressort qu’avec une envie – prendre le prochain avion et transformer ce voyage imaginaire en du réel
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Re: Raphaël Meltz
Oh magnifique!
Je reconnais quelques endroits de Lisbonne, ça devrait me plaire, merci Kenavo!
Je reconnais quelques endroits de Lisbonne, ça devrait me plaire, merci Kenavo!
Aeriale- Messages : 11930
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Raphaël Meltz
24 fois
La vérité
La couverture, le résumé… oui, voilà tout pour m’attirer vers un livre et celui-ci semblait parfait.Présentation de l’éditeur
Dans la lignée des dernières rentrées littéraires du Tripode, 24 fois la vérité est un roman ouvert et foisonnant. Ce cinquième texte de Raphaël Meltz, celui de la maturité, livre le destin d'un caméraman au XXe siècle. Et c'est " la vie. Une fois encore. La vie. Rien que la vie. " Un regard vif, des émotions justes, une couverture frappante : encore une découverte du Tripode.
Il y a Gabriel, un opérateur de cinéma qui a parcouru le vingtième siècle l'œil rivé derrière sa caméra : de l'enterrement de Sarah Bernhardt au tournage du Mépris, du défilé de la paix de 1919 au 11 septembre 2001, il aura été le témoin muet d'un monde chaotique, et de certains de ses vertiges. Il y a Adrien, son petit-fils, qui est journaliste spécialisé dans les choses numériques qui envahissent désormais nos vies. Et il y a le roman qu'Adrien a décidé d'écrire sur son grand-père.
En vingt-quatre chapitres, raconter une vie. Vingt-quatre chapitres comme les vingt-quatre images qui font chaque seconde d'un film. Vingt-quatre chapitres pour tenter de saisir la vérité : que reste-t-il de ce qui n'est plus là ? Que connaît-on de ce qu'on a vu sans le vivre ? Que faire, aujourd'hui, de tant d'images ?
« Si la photographie c’est la vérité, alors le cinéma c’est 24 fois la vérité par seconde. »
Adrien découvre cette citation dans un film de Godard et elle donne son titre à ce roman.
Après ma première rencontre avec Raphaël Meltz en voici donc un nouveau aspect de cet auteur.
À tour de rôle (pour un a-b-c parcourant le siècle), il y a Gabriel, le caméraman, et puis Adrien, son petit-fils, au centre.
Je dois l’avouer, les chapitres autour d’Adrien ne m’ont pas enthousiasmés, il s’est engagé de faire le récit de trucs pour lesquels je n’avais pas trop de compassion.
Tout autre pour les moments de tournage de Gabriel. Il semble qu’il a choisit toujours d’être au bon moment avec sa caméra pour capter quelques événements marquants du XXème siècle.
En fin de compte une lecture à demie-teinte qui était assez agréable pour les côtés historiques mais sinon je ne vais pour l’instant pas remettre cet auteur dans mes prévisions de lectures prochaines.
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